Agir >


Voir ses petits-enfants, parents et grands-parents

Texte mis à jour le 2020-11-17

Pour beaucoup, il est bien difficile de ne plus voir ses petits-enfants, ses parents ou ses grands-parents. Pourtant, les risques d’une visite sont grands : les parents, les grands-parents sont plus vulnérables face à la COVID-19. Pour malgré tout organiser une visite à ses proches en minimisant les risques, il est essentiel de garder le masque tout au long de la visite et d’aérer au maximum la pièce.

Le saviez-vous ? Les personnes de plus de 65 ans ont 50% plus de risques d’être infectées par SARS-CoV-2 que les adultes de moins de 65 ans et leurs symptômes sont souvent plus sévères. Pour en savoir plus

Quelles sont les personnes vulnérables ?

facebook twitter linkedin

De nombreux cas d’infection sont décrits au sein des familles. Même les enfants qui n’ont pas de symptômes de la COVID-19 mais qui sont infectés par le SARS-CoV-2 peuvent le transmettre à leurs parents et grands-parents.

Le saviez-vous ? De nombreux cas de transmission d’un enfant vers un parent ont été observés et ce quelque soit l’âge de l’enfant, même un bébé de 3 mois a contaminé ses deux parents ! Pour en savoir plus

Le saviez-vous ? On estime que près de 45% des personnes infectées par le coronavirus seraient sans symptômes mais quand même contagieuses ! Pour en savoir plus

facebook twitter linkedin

Le masque nous protège : il diminue beaucoup le risque d’être contaminé, et si on est contaminé, la COVID-19 sera moins grave si on porte un masque !

La sévérité de la maladie COVID-19 dépend-elle de la dose de virus reçue ?

Le saviez-vous ? Sur un bateau de croisière, le Greg Mortimer, qui effectuait une croisière au large de l’Antarctique en mars 2020, un individu a déclaré la COVID-19. Tous les passagers et membres de l’équipage se sont mis à porter un masque. Plus de la moitié des passagers ont été infectés mais seuls 20% ont eu des symptômes (contre 60% habituellement). Pour en savoir plus

Le saviez-vous ? Même si le masque peut occasionner une sensation de gêne, il ne réduit pas la quantité d’oxygène dans le sang. Pour en savoir plus

facebook twitter linkedin

Pour dissiper les aérosols responsables de la propagation du SARS-CoV-2, il est essentiel de se retrouver dans un lieu aéré, c’est-à-dire à l’extérieur ou dans une pièce bien ventilée avec les fenêtres ouvertes. S’il fait froid, il vaut mieux mettre un pull en plus plutôt que d’attraper la COVID-19 !

Le saviez-vous ? Jusqu’à présent, on n’a identifié qu’un seul cas de contamination en “cluster” qui a eu lieu plein air : c’était un festival où il y avait des tentes avec un taux de ventilation minimale pendant les repas. Les autres cas de contamination en “cluster” ont eu lieu dans des endroits fermés : salle de sport, bateau, restaurant, bar, hôpital, église, etc. Pour en savoir plus

Le saviez-vous ? Le risque de transmission est beaucoup plus faible à l’extérieur qu’à l’intérieur, à condition de rester éloignés, parce que les aérosols contenant le coronavirus sont dispersés dans l’atmosphère. Cependant, même si à l’extérieur le risque de contamination est faible, il n’est pas réduit à zéro. Parmi 7.324 cas de COVID-19 décrits en Chine entre janvier et février 2020, un cas de transmission du coronavirus à l’extérieur où des personnes étaient proches a été décrit. Pour en savoir plus

facebook twitter linkedin

Même si cela est faux, nous sommes convaincus que les membres de notre famille, nos proches, nos amis sont moins susceptibles de nous transmettre la COVID-19 que le joggeur dans la rue ou le livreur de courses. Or cela est faux : les risques d’infections par la COVID-19 sont plus élevés dans la sphère familiale que par des inconnus.

Comment nos biais cognitifs nous influencent-ils pendant l’épidémie de COVID-19 ?

Le saviez-vous Une méta-analyse de 40 études montre qu’en moyenne le taux d’infection est de 20% au sein des familles et de 40% pour les conjoints. Pour aller plus loin

facebook twitter linkedin